31 mai 2016

Frédéric Lordon : "La Société des affects" ; "Penser l'état"

Emission France Culture "Les matins/Frédéric Lordon" : 

http://www.dailymotion.com/video/x37l52f_les-matins-frederic-lordon-il-faut-defendre-le-social_news


F. Lordon "Nuit Debout" : Article et vidéo conférence dans "Là-bas si j'y suis" 

Lien : http://la-bas.org/la-bas-magazine/reportages/lordon-nuit-debout


"La grève générale, c’est que le pays tout entier débraye, le pays est bloqué – le pays est bloqué, disent-ils, parce qu’en vérité c’est l’exact contraire : c’est au moment précis où ils disent que tout se bloque qu’en fait, tout se débloque. La politique, la vraie, la parole, l’action, et jusqu’aux relations entre les gens. Et puis surtout le possible, l’avenir. Il faut bloquer pour que tout se débloque.
Il y avait trop longtemps que ça craquait de toutes parts. On ne tient pas éternellement une société avec BFM, de la flicaille et du Lexomil. Vient fatalement un moment où les têtes se redressent et redécouvrent pour leur propre compte l’immémoriale idée de l’insoumission et de l’affranchissement.
Ce moment, c’est le nôtre, ce moment, c’est maintenant."


A lire : (fichier PDF)

FRÉDÉRIC LORDON ; La Société des affects :  Pour un structuralisme des passions


Introduction (extrait)

Le mouvement en marchant La société marche aux désirs et aux affects : 

"Les sciences sociales qui cherchent les forces motrices devraient s’intéresser un peu à ça. Le problème est que… les sciences sociales ont un problème avec le désir et les affects. À leur décharge, il faut bien reconnaître qu’il y a de quoi. Les sciences sociales se sont construites comme sciences des faits sociaux – et non des états d’âme. Or les états d’âmes et les émois intérieurs des individus sont le point où semble reconduire fatalement toute évocation du désir et des affects. On comprend donc sans peine le long tourment des sciences sociales : confrontées à une sorte d’évidence massive – la présence obvie des émotions dans les comportements humains –, elles ne s’en sont pas moins imposé une stricte censure, et l’interdiction formelle d’y toucher. Accordons que cette réticence n’était pas totalement illégitime : il n’était pas absurde de penser qu’en revenir aux émotions comportait un risque sérieux d’involution vers une sorte de spiritualisme psychologiste – duquel le geste constitutif même des sciences sociales avait été de s’extraire. Si c’était pour transformer les sciences du social en psychologie sentimentale, mieux valait en effet s’abstenir".


A lire, article rédigé par la Note blanche "Spinoza, Ethique" :

http://noteblanche.blogspot.fr/2015/06/spinoza-ethique.html

2 commentaires:

  1. Les pays d'Amérique latine sont plongés dans le populisme et les idées socialistes. Il y a suffisamment de séries espiar que même les trafiquants de drogue veulent être président pour gagner plus de pouvoir et de contrôle sur les pays.

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  2. Mes traitements de chimiothérapie...

    Je reviens maintenant pour partager mon expérience parce que la douleur et la souffrance émotionnelles que j'ai ressenties à cause du cancer du sein se sont atténuées. Je pleure encore lorsque je raconte mon histoire, mais je ne me sens plus comme une victime du cancer.
    En juin 2005, j'ai commencé la chimiothérapie. Mon oncologue m'a recommandé de commencer par la chimio puis de subir une intervention chirurgicale. J'ai dû subir 8 cycles de chimio, une fois toutes les deux semaines. C'était ce qu'on appelait la dose dense. J'ai reçu trois cycles d'AC, trois cycles de Taxotere, puis le reste sous Taxol. Je m'en souviens encore comme si c'était hier. Le premier cycle de chimio n'a pas été aussi mauvais que je le pensais. Je n'étais pas si malade. Je me disais que je pouvais le faire. La chimio n'était pas si mauvaise. Bon sang, j'avais tort. Le deuxième tour m'a frappé de plein fouet. Mes globules rouges étaient bas, alors on m'a fait une injection de Procrit. Je tombais normalement malade le troisième jour. Je me rendais au traitement le jeudi, on me faisait la piqûre de Procrit le vendredi (si nécessaire), puis j'étais malade au lit pendant 3 à 5 jours. Lors du cycle suivant, je n'ai pas reçu la piqûre de Procrit. Je me sens toujours malade, mais pas autant que lors du dernier cycle. Lorsque je suis tombée très malade lors de mon tour suivant, après avoir reçu la piqûre de Procrit, j'ai réalisé que la piqûre aggravait mon état. J'ai donc continué à chercher des herbes naturelles et je suis tombé sur le centre d'herboristerie du Dr Itua qui soigne des maladies comme l'herpès, le cancer, l'infertilité des hommes et des femmes, le charme, les douleurs corporelles, la maladie de Parkinson, la SLA, la SEP, le diabète et l'hépatite, Le Dr Itua était la seule solution à mon problème, j'ai donc acheté ses herbes médicinales et j'ai terminé le traitement complet comme on me l'a demandé, sans chirurgien, j'ai été guéri. Je lui ai demandé ce que je devais faire pour le remercier, puis il m'a demandé de témoigner de son travail, c'est pourquoi j'ai laissé ce message ici pour aider quelqu'un à relever le défi de la santé, Dieu merci ! Le Dr Itua allait beaucoup mieux.

    **N'hésitez pas à envoyer un message au Dr Itua à l'adresse drituaherbalcenter@gmail.com si vous avez des questions concernant les traitements ou tout autre problème de santé.

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